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Séries documentaires

Vu sur Terre

40 x 52' et 40 x 26'
Depuis 2009
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France 5
Iles Shetland

Saison 3

FRANÇAIS - ENGLISH

Une collection proposée par Dominique PIPAT
Réalisation - Laurent CADORET
Image - Jean-Christophe CHENEAU
Montage - Scott SCHNEIDER
Mixage - Jean-Christophe CARON
Voix - Pierre-Alain de GARRIGUES
Graphisme - Alexis MARTINEZ
Journaliste - Anne VIRY-BABEL
Adaptation - Framboise ROYER-JACQUIER
Musique Originale - Christophe HENROTTE
Post Production - Transatlantic Vidéo / Ludovic de MAISTRE

Résumé :

Vu Sur Terre met le cap sur le Nord de l’Europe. Au large des terres montagneuses de l’Ecosse, les Shetland sont des îles désertiques, usées par le vent et les tempêtes de l’Atlantique.

22 000 personnes se répartissent sur ce territoire écossais. Chaque hiver, elles doivent apprivoiser une nature sauvage.

C’est au cœur de cet archipel que vit Jonathan Wills. Il se consacre à la défense de ses îles dont il nous ouvre les portes. Jonathan est né en Angleterre. Il arrive aux Shetland à l’âge de 5 ans. Les îles lui ouvrent un monde de légendes et d’histoires. Ancien journaliste, marin, Jonathan est aussi écrivain, inspiré par les multiples facettes de son territoire, l’île de Bressay.

Le nom d’ « Oscar Charlie », lui, est synonyme de courage et de dévouement. C’est l’hélicoptère des garde-côtes, tous les habitants des Shetland le connaissent. « Oscar Charlie » sillonne le ciel des Shetland par tous les temps, prêt à intervenir en mer et dans les coins les plus reculés de l’archipel. Kieran Murray et son fils nous emmènent à bord d’ « Oscar Charlie », et nous font partager le quotidien de cet équipage hors du commun.

Enfin, nous irons à la rencontre de Niel Thomson. Il vit sur une des îles les plus isolées des Shetland. Fair Isle est une communauté d’hommes et de femmes solidaires. Leur territoire est une terre préservée. A l’angle du monde, Niel peut contempler son minuscule royaume.  « Si, parfois, tu traverses une passe difficile, il suffit de venir jusqu’ici et de regarder, et là, c’est fantastique ! »

Il contemple sa communauté avec du recul : « Il y a tellement peu de monde ici qu’on a tous deux ou trois métiers. Quand on réunit tout ça, la communauté peut fonctionner. Tu dois aimer tout le monde. Les gens qui viennent s’installer ici et qui n’aiment pas les autres, au bout d’un an ou deux, ils partent, parce que ça devient difficile pour eux. »