Catalogue

|

Séries documentaires

Vu sur Terre

40 x 52' et 40 x 26'
Depuis 2009
+ de
vidéos
sur
France 5
Madagascar

L'île rouge - Saison 1

FRANÇAIS - ENGLISH

Une collection proposée par Dominique PIPAT
Réalisation - Laurent CADORET
Image - Jean-Christophe CHENEAU
Montage - Scott SCHNEIDER
Mixage - Jean-Christophe CARON
Voix - Pierre-Alain de GARRIGUES
Graphisme - Alexis MARTINEZ
Journaliste - Anne VIRY-BABEL
Adaptation - Framboise ROYER-JACQUIER
Musique Originale - Alain BERLOTY
Post Production - Transatlantic Vidéo / Ludovic de MAISTRE

Résumé :

Vu sur Terre fait escale dans l’Océan Indien. Madagascar est l’une des plus grandes îles de la planète. Pays d’histoires et de légendes, Madagascar est surnommée l’île rouge, la couleur de sa terre.

Dans le grand sud malgache, Elysée, une étudiante en botanique, se passionne pour l’arbre emblématique de son île, le baobab. Dans une zone aride et difficile d’accès, perchée à plus de 10 mètres du sol, Elysée mène ses recherches... Elle étudie le système de reproduction de cet arbre dont on sait si peu.
Botaniste et acrobate à la fois, elle évolue avec aisance dans son laboratoire aérien... Patiemment, elle scrute les arbres et observe d’un œil expert les éclosions de leurs fleurs. Elle tente de surprendre quelques insectes, soupçonnés d’être les pollinisateurs de ces arbres majestueux...

Soloda est un Vez, le peuple des nomades de la mer, les marins de Madagascar. Il vit à Sarodrano, un village isolé de tout, face au canal du Mozambique.
En malgache, Sarodrano a deux significations : l’eau difficile ou la terre entourée d’eau... En réalité, on constate les deux à la fois. Il y a quelques années, Soloda a choisi de revenir vivre là où il est né. Même s’ils se sédentarisent de plus en plus, les Vez restent des nomades dans l’âme, bercés par de nombreuses croyances.

A 20 ans, Gilles quitte Marseille, traverse l’Afrique à pieds et s’installe aux Comores, avant de découvrir Madagascar à la fin des années 80. Passionné de nature, il tombe sous le charme de la vallée de la Tsaranoro, encerclée par les plus belles montagnes de l’île. Autrefois il y avait de la forêt presque partout, mais la culture sur brûlis a eu des conséquences dévastatrices pour la grande île. Gilles fonde une association, crée une pépinière, et se met en tête de reboiser cette vallée. Il aime évoquer le livre de Giono, « L’Homme qui plantait des arbres », et avoue avoir été impressionné par l’oeuvre. « C’est sûr, il m’a inspiré. J’aimerais bien finir dans la mémoire des gens ici comme l’homme qui plantait des arbres ». En attendant, la forêt se reconstitue peu à peu, et la population locale manifeste un intérêt grandissant pour le reboisement de leur vallée. Gilles tente d’assurer la pérennité de son projet, en sensibilisant les jeunes aux techniques et aux enjeux de la reforestation.